L’assassinat d’un Sahraoui par l’armée algérienne met le feu aux poudres
Des sources bien informées des camps de Tindouf indiquent que les membres de la tribu R’Guibat Labaihatt endeuillés par l’assassinat de l’un des leurs par des éléments de l’armée algérienne, mettent à ébullition les camps.
Selon ces sources, des soldats algériens auraient abattu, à coup de feu, un ressortissant sahraoui. Mohamed Ould Khattry Ould El Wali, c’est le nom du défunt, faisait paître paisiblement son troupeau dans l’oued « M’Heya », à l’orée des camps, quand soudain une patrouille de l’armée algérienne a surgi et, sans sommation, aurait tiré sur lui, le tuant sur le coup. Cet acte n’est pas exceptionnel, de nombreux ressortissants sahraouis sont morts abattus par des forces algériennes en l’absence de toute réaction des dirigeants du Polisario qui évitent de fâcher leurs parrains en attirant leur attention sur ces faits récurrents.
Nos sources rapportent qu’à chaque fois, les dirigeants du Polisario usent de pressions tribales ou recourent aux menaces pour dissuader les parents des victimes. L’incident de l’assassinat de Mohamed Ould Khattry a coïncidé avec la visite dans les camps d’une délégation américaine, ce qui a obligé les dirigeants du Polisario à redoubler leurs pressions pour dissimuler cette affaire en attendant la fin de la visite de ladite délégation.
Selon ces sources, des soldats algériens auraient abattu, à coup de feu, un ressortissant sahraoui. Mohamed Ould Khattry Ould El Wali, c’est le nom du défunt, faisait paître paisiblement son troupeau dans l’oued « M’Heya », à l’orée des camps, quand soudain une patrouille de l’armée algérienne a surgi et, sans sommation, aurait tiré sur lui, le tuant sur le coup. Cet acte n’est pas exceptionnel, de nombreux ressortissants sahraouis sont morts abattus par des forces algériennes en l’absence de toute réaction des dirigeants du Polisario qui évitent de fâcher leurs parrains en attirant leur attention sur ces faits récurrents.
Nos sources rapportent qu’à chaque fois, les dirigeants du Polisario usent de pressions tribales ou recourent aux menaces pour dissuader les parents des victimes. L’incident de l’assassinat de Mohamed Ould Khattry a coïncidé avec la visite dans les camps d’une délégation américaine, ce qui a obligé les dirigeants du Polisario à redoubler leurs pressions pour dissimuler cette affaire en attendant la fin de la visite de ladite délégation.