La Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement poursuit son engagement envers les générations futures. En effet, celle-ci organise, du 28 novembre jusqu’au 20 janvier, un cycle d’ateliers de présentation et d’animation de ses programmes phares d’éducation au développement durable.
Dans cet élan, la Fondation réunit animateurs et encadrants afin «de passer le message de l’alignement du contenu de ses deux programmes avec les Objectifs de développement durable des Nations Unies qu’elle a fait siens», explique la Fondation. Ainsi, le programme Jeunes reporters pour l’environnement cible l’efficacité de l’éducation à l’environnement, à savoir l’Objectif de développement durable n° 4.
Autre nouveauté, les Éco-Écoles participant à ces ateliers procéderont à la levée du pavillon vert, label qui couronne leur parcours 2016-2017 afin de montrer aux nouvelles inscrites le chemin à suivre, souligne la Fondation. Autrement dit, les écoles les plus aguerries aux deux programmes partageront leur expérience et présenteront leurs bonnes pratiques. L’objectif étant aussi d’inspirer et d’encourager les nouveaux arrivants dans les programmes. La Fondation a également convié pour la session 2017-2018 les lauréats et les candidats des trophées Lalla Hasnaa littoral durable des différentes régions afin de maintenir l’attention des écoles sur la fragilité du littoral et la nécessité de le protéger. A ce jour, plus de 1.900 établissements dans 12 académies participent à la 12e édition au programme Éco-Écoles, et plus de 22.000 collégiens et lycéens ont participé au concours Jeunes reporters pour l’environnement depuis son lancement.
L’éducation au centre des partenariats internationaux de la Fondation
La Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement participe à la feuille de route 2015-2024 pour l’éducation en vue du développement durable de l’Unesco. Cette initiative est déployée actuellement dans un premier programme d’action de cinq ans (GAP, 2015-2019). De même, la Fondation a signé des partenariats avec l’Unesco, la FAO et la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) qui organise la COP chaque année afin de relayer au niveau local et régionale cette dynamique.