Au Maroc, le chômage touche principalement les jeunes diplômés et les femmes, selon une étude conjointe du Haut-commissariat au plan (HCP) et de la Banque mondiale (BM) qui souligne un taux de chômage très élevé chez les jeunes et une tendance haussière observée depuis 2010.
Intitulée : «Le marché du travail au Maroc : défis et opportunités», l’étude relève qu’«après avoir atteint un seuil inférieur en 2010 (31,3%), le taux de chômage des 15-24 ans en milieu urbain est reparti à la hausse. Il touchait 41% de cette dernière catégorie en 2016, un niveau inquiétant, à rebours de l’évolution des autres classes d’âge ».
Elle note aussi que les diplômés et particulièrement ceux du supérieur sont fortement touchés par le chômage au point que l’on parle d’une situation singulière.
En effet, le taux de chômage est cinq fois plus élevé chez les diplômés du supérieur (25% en 2014) que pour les non-diplômés (4,7%) et, tandis que le chômage a diminué chez les non-diplômés, il a augmenté au niveau des diplômés.
Précisons que trois quarts des jeunes (15-24 ans) diplômés du supérieur sont au chômage, ce qui représente plus de 7 fois le taux des non-diplômés.
Intitulée : «Le marché du travail au Maroc : défis et opportunités», l’étude relève qu’«après avoir atteint un seuil inférieur en 2010 (31,3%), le taux de chômage des 15-24 ans en milieu urbain est reparti à la hausse. Il touchait 41% de cette dernière catégorie en 2016, un niveau inquiétant, à rebours de l’évolution des autres classes d’âge ».
Elle note aussi que les diplômés et particulièrement ceux du supérieur sont fortement touchés par le chômage au point que l’on parle d’une situation singulière.
En effet, le taux de chômage est cinq fois plus élevé chez les diplômés du supérieur (25% en 2014) que pour les non-diplômés (4,7%) et, tandis que le chômage a diminué chez les non-diplômés, il a augmenté au niveau des diplômés.
Précisons que trois quarts des jeunes (15-24 ans) diplômés du supérieur sont au chômage, ce qui représente plus de 7 fois le taux des non-diplômés.