Villes sans bidonvilles et bâti menaçant ruine, thème d’une réunion à Fès

Une réunion consacrée à l’évaluation du programme “Villes sans bidonvilles” et celui du bâti menaçant ruine au niveau de la préfecture de Fès a eu lieu, mercredi à Fès, sous la présidence du ministre de l’Aménagement du territoire national, de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Politique de la ville, qui s’est enquis de l’état d’avancement du contrat de la ville de Fès “villes sans bidonvilles” et des mesures prioritaires qui devraient être prises pour déclarer la capitale spirituelle, ville sans bidonvilles à la fin de l’année 2018.
S’agissant du programme relatif à la lutte contre l’habitat menaçant ruine, la réunion a été l’occasion de s’arrêter sur le bilan de la mise en application de la convention relative au financement et à la réalisation de ce programme au niveau des quartiers anarchiques de la ville. Signée en juillet 2017, cette convention porte sur le traitement des cas de 500 bâtisses occupées par 2500 familles pour un investissement de 150 MDH avec une contribution du ministère de l’Aménagement du territoire national s’élevant à 70 MDH.
Une nouvelle approche proposée par les acteurs locaux visant à accélérer le traitement de ce phénomène à travers la création d’un pôle urbain intégré pour accueillir les familles concernées, a été également présentée lors de cette rencontre.
Le ministre s’est informé également de la mise en œuvre de la convention relative au traitement de l’habitat menaçant ruine au niveau de la province, signée en 2014 et de l’état d’avancement du projet de recasement des familles menacées par les inondations au douar Machraa Karim.
S’agissant du programme relatif à la lutte contre l’habitat menaçant ruine, la réunion a été l’occasion de s’arrêter sur le bilan de la mise en application de la convention relative au financement et à la réalisation de ce programme au niveau des quartiers anarchiques de la ville. Signée en juillet 2017, cette convention porte sur le traitement des cas de 500 bâtisses occupées par 2500 familles pour un investissement de 150 MDH avec une contribution du ministère de l’Aménagement du territoire national s’élevant à 70 MDH.
Une nouvelle approche proposée par les acteurs locaux visant à accélérer le traitement de ce phénomène à travers la création d’un pôle urbain intégré pour accueillir les familles concernées, a été également présentée lors de cette rencontre.
Le ministre s’est informé également de la mise en œuvre de la convention relative au traitement de l’habitat menaçant ruine au niveau de la province, signée en 2014 et de l’état d’avancement du projet de recasement des familles menacées par les inondations au douar Machraa Karim.