Le WAC mène 5 à 4 contre Al Ahly

La formation, c’est un match que le Wydad de Casablanca gagne symboliquement face à Al Ahly. Certes, lors du match aller, au Caire, il n’y a pas eu photo, le Wydad s’était incliné (2-0). Et si quatre points séparent les deux équipes au classement, les Rouge et Blanc ont une longueur d’avance, pour peu que l’on se place à un autre niveau, celui du nombre des joueurs du cru formés par chacun des deux clubs.
Une vision globale nous dévoile que cinq joueurs formés au complexe Benjelloun sont bien implantés dans le groupe professionnel depuis quelques saisons. En l’occurrence Badredinne Benachour en dernier rempart, le roc défensif Amine Attouchi, Hamza El Wasti, habile milieu de terrain et l’avant- centre Ayman El Hassouni, auxquels il faut ajouter le virevoltant ailier Reda Hajhouj, de retour d’un prêt dans un club du Golfe.
A titre de comparaison, Ah Ahly en dénombre un de moins: le portier Ahmed Adel, Saad Samir en défense, Hossam Achour dans l’entrejeu et Amr Gamal en attaque. La moyenne d’âge de ces joueurs est largement en faveur du WAC. 22,4 ans, pour les joueurs du cru wydadi contre 28,5 ans pour Al Ahly. Cela démontre la récente intention du Wydad à faire de la formation un enjeu essentiel. Une politique relativement en décalage avec la réalité puisque les Egyptiens ont présenté deux fois plus de joueurs formés sur la feuille de match (4 contre 2) et sur le terrain. Seul Amine Attouchi représentait cette catégorie, tandis qu’en face, Saad Samir et Hossam Achour ont pris place dans le 11 de départ.
Si l’on se focalise sur le statut international, les Cairotes envoient régulièrement la totalité de leurs joueurs formés dans le cocon familial en équipe nationale A, tandis que la formation du WAC est périodiquement représentée par Attouchi, en équipe première ou des locaux, ainsi que par Badr Benachour et Hamza Hajhouj en U23.
A court terme, il n’est pas certain que le Wydad garde cette avance. Economiquement, le championnat marocain pâtit d’un déficit d’exposition par rapport à son vis-à-vis égyptien. D’autant plus que le développement de la formation passe forcément par un coûteux aménagement des structures, souvent financé par les transferts des joueurs et la prime à la formation, imposée par la FIFA. Le souvenir lointain de la dernière indemnité de formation perçue par le Wydad grâce au départ de Yassine Bounou, en fin de contrat à l’été 2012, renforce les craintes engendrées par le caractère éphémère que peut représenter le léger avantage de la formation du Wydad sur celle d’Al Ahly.
Une vision globale nous dévoile que cinq joueurs formés au complexe Benjelloun sont bien implantés dans le groupe professionnel depuis quelques saisons. En l’occurrence Badredinne Benachour en dernier rempart, le roc défensif Amine Attouchi, Hamza El Wasti, habile milieu de terrain et l’avant- centre Ayman El Hassouni, auxquels il faut ajouter le virevoltant ailier Reda Hajhouj, de retour d’un prêt dans un club du Golfe.
A titre de comparaison, Ah Ahly en dénombre un de moins: le portier Ahmed Adel, Saad Samir en défense, Hossam Achour dans l’entrejeu et Amr Gamal en attaque. La moyenne d’âge de ces joueurs est largement en faveur du WAC. 22,4 ans, pour les joueurs du cru wydadi contre 28,5 ans pour Al Ahly. Cela démontre la récente intention du Wydad à faire de la formation un enjeu essentiel. Une politique relativement en décalage avec la réalité puisque les Egyptiens ont présenté deux fois plus de joueurs formés sur la feuille de match (4 contre 2) et sur le terrain. Seul Amine Attouchi représentait cette catégorie, tandis qu’en face, Saad Samir et Hossam Achour ont pris place dans le 11 de départ.
Si l’on se focalise sur le statut international, les Cairotes envoient régulièrement la totalité de leurs joueurs formés dans le cocon familial en équipe nationale A, tandis que la formation du WAC est périodiquement représentée par Attouchi, en équipe première ou des locaux, ainsi que par Badr Benachour et Hamza Hajhouj en U23.
A court terme, il n’est pas certain que le Wydad garde cette avance. Economiquement, le championnat marocain pâtit d’un déficit d’exposition par rapport à son vis-à-vis égyptien. D’autant plus que le développement de la formation passe forcément par un coûteux aménagement des structures, souvent financé par les transferts des joueurs et la prime à la formation, imposée par la FIFA. Le souvenir lointain de la dernière indemnité de formation perçue par le Wydad grâce au départ de Yassine Bounou, en fin de contrat à l’été 2012, renforce les craintes engendrées par le caractère éphémère que peut représenter le léger avantage de la formation du Wydad sur celle d’Al Ahly.