Zagora à l’écoute des grands conteurs africains

Et si l’on contait les histoires du monde à Zagora ! Ce n’est point un rêve. Le joyau du Sud-est marocain accueille, du 21 au 24 décembre courant, la 5ème édition du Festival international du conte. Zagora se distingue ainsi par son action culturelle. Après la musique avec Taragalte, le cinéma avec le transsaharien et le théâtre avec le Festival international, voilà donc cette forme d’expression populaire, mais aussi hautement créative qu’est le conte. L’initiative du Centre Al Kasabah pour la culture et les arts de Zagora est louable, dans la mesure où elle présente un volet du patrimoine populaire oral des plus riches.
Initiée sous le thème « Contes d’Afrique », cette édition, organisée en partenariat avec le conseil de la région Draâ-Tafilalet, le Conseil provincial de Zagora, verra la participation de grands conteurs qui viendront de plusieurs pays, en plus de troupes artistiques nationales et africaines.
Selon le directeur de cette manifestation culturelle, l’écrivain Abdelaziz Rachidi, le programme de cette 5ème édition comprend des spectacles individuels et collectifs du conte et des spectacles d’arts populaires, en plus de représentations théâtrales et d’activités récréatives en faveur des enfants, afin de les inciter à la créativité. Les organisateurs ont aussi prévu des ateliers de formation autour de l’expression corporelle et des arts d’élocution dans les maisons de jeunes, d’étudiantes (Dar attalibat), ainsi que la prison civile de Zagora, dans une initiative d’ouverture du festival sur son entourage.
Dans le cadre de cette ouverture du Festival sur le conte et les conteurs d’Afrique, la ville de Zagora accueillera, à cette occasion, des artistes et créateurs du Tchad, du Togo, de Côte d’Ivoire, du Cameroun, du Sénégal, du Soudan du Sud, du Congo Brazzaville, du Burkina Faso, d’Egypte, ainsi que de Palestine et de Chine.
Le festival sera marqué par l’organisation d’une conférence académique autour du conte, qui sera animée par l’écrivain et dramaturge Abdelkerim Berchid et l’écrivain et chercheur Abdelmajid Chakir.
Outre le carnaval prévu à l’ouverture de cette édition et qui verra défiler les principales troupes locales, des troupes africaines et internationales, le programme comprend aussi un hommage qui sera rendu au dramaturge Abdelkerim Berchid, à l’artiste Mohamed Atir, aux conteurs sénégalais Cerine Ndaye et burkinabé François Mois Bamba.
Tout au long du festival, les « Soirées de contes » seront au rendez-vous, une occasion de voir comment chaque pays, chaque culture et chaque langue procède à la narration de ses histoires et de ses contes. Les enfants seront de la fête, puisque le programme prévoit une matinée du « petit conteur » qui entend aiguiser le sens de la narration chez les conteurs en herbe.
Les conteurs et invités d’honneur de cette édition auront aussi la possibilité de faire la rencontre du jeune public, notamment les élèves des établissements scolaires publics et privés, en faveur desquels ils animeront des ateliers de formation. D’autres lieux et espaces se verront animés à cette occasion, tels que la prison civile de Zagora, les maisons réservées aux étudiantes, « Bab Assalam » au village de Tinzouline et l’espace oasien Boukhlal.
La cérémonie de clôture aura lieu, par contre, dans un espace saharien féérique, avec la participation de toutes les troupes de musiques populaires locales et internationales, ainsi que les conteurs des différents pays participants.
Initiée sous le thème « Contes d’Afrique », cette édition, organisée en partenariat avec le conseil de la région Draâ-Tafilalet, le Conseil provincial de Zagora, verra la participation de grands conteurs qui viendront de plusieurs pays, en plus de troupes artistiques nationales et africaines.
Selon le directeur de cette manifestation culturelle, l’écrivain Abdelaziz Rachidi, le programme de cette 5ème édition comprend des spectacles individuels et collectifs du conte et des spectacles d’arts populaires, en plus de représentations théâtrales et d’activités récréatives en faveur des enfants, afin de les inciter à la créativité. Les organisateurs ont aussi prévu des ateliers de formation autour de l’expression corporelle et des arts d’élocution dans les maisons de jeunes, d’étudiantes (Dar attalibat), ainsi que la prison civile de Zagora, dans une initiative d’ouverture du festival sur son entourage.
Dans le cadre de cette ouverture du Festival sur le conte et les conteurs d’Afrique, la ville de Zagora accueillera, à cette occasion, des artistes et créateurs du Tchad, du Togo, de Côte d’Ivoire, du Cameroun, du Sénégal, du Soudan du Sud, du Congo Brazzaville, du Burkina Faso, d’Egypte, ainsi que de Palestine et de Chine.
Le festival sera marqué par l’organisation d’une conférence académique autour du conte, qui sera animée par l’écrivain et dramaturge Abdelkerim Berchid et l’écrivain et chercheur Abdelmajid Chakir.
Outre le carnaval prévu à l’ouverture de cette édition et qui verra défiler les principales troupes locales, des troupes africaines et internationales, le programme comprend aussi un hommage qui sera rendu au dramaturge Abdelkerim Berchid, à l’artiste Mohamed Atir, aux conteurs sénégalais Cerine Ndaye et burkinabé François Mois Bamba.
Tout au long du festival, les « Soirées de contes » seront au rendez-vous, une occasion de voir comment chaque pays, chaque culture et chaque langue procède à la narration de ses histoires et de ses contes. Les enfants seront de la fête, puisque le programme prévoit une matinée du « petit conteur » qui entend aiguiser le sens de la narration chez les conteurs en herbe.
Les conteurs et invités d’honneur de cette édition auront aussi la possibilité de faire la rencontre du jeune public, notamment les élèves des établissements scolaires publics et privés, en faveur desquels ils animeront des ateliers de formation. D’autres lieux et espaces se verront animés à cette occasion, tels que la prison civile de Zagora, les maisons réservées aux étudiantes, « Bab Assalam » au village de Tinzouline et l’espace oasien Boukhlal.
La cérémonie de clôture aura lieu, par contre, dans un espace saharien féérique, avec la participation de toutes les troupes de musiques populaires locales et internationales, ainsi que les conteurs des différents pays participants.