Ahmed Bouanani honnoré à Berlin

La 67ème Berlinale qui s’est tenue tiendra en février dernier a rendu un hommage au cinéma marocain en accueillant dans sa section «Forum de la Berlinale 2017», un spécial Maroc, intitulé «Autour de Bouanani,
another Morrocan Cinema». Ahmed Bouanani est l’un des pionniers du cinéma marocain, il est aussi l’un des écrivains et poètes les plus talentueux de la première génération d’artistes et d’intellectuels du Maroc post-indépendant. «La valeur des créations artistiques de Bouanani tire sa force d’une vision esthétique cohérente qui se décline dans ses œuvres aussi bien plastiques, poétiques, narratives que cinématographiques et dont les composantes fortes sont la quête et la reconstruction de la mémoire et l’expression par l’image, générées aussi bien par le mot, le dessin ou la caméra.
Mais aussi d’une exigence sans faille quant à la concordance de cette vision avec sa pensée, son action et sa vie. Ses articles et interventions sur les sujets les plus cruciaux et dans les tribunes les plus diverses sont mémorables et toujours d’actualité», écrit le critique Ahmed Fertat dans un article publié par Libé en hommage à Ahmed Bouanani.
another Morrocan Cinema». Ahmed Bouanani est l’un des pionniers du cinéma marocain, il est aussi l’un des écrivains et poètes les plus talentueux de la première génération d’artistes et d’intellectuels du Maroc post-indépendant. «La valeur des créations artistiques de Bouanani tire sa force d’une vision esthétique cohérente qui se décline dans ses œuvres aussi bien plastiques, poétiques, narratives que cinématographiques et dont les composantes fortes sont la quête et la reconstruction de la mémoire et l’expression par l’image, générées aussi bien par le mot, le dessin ou la caméra.
Mais aussi d’une exigence sans faille quant à la concordance de cette vision avec sa pensée, son action et sa vie. Ses articles et interventions sur les sujets les plus cruciaux et dans les tribunes les plus diverses sont mémorables et toujours d’actualité», écrit le critique Ahmed Fertat dans un article publié par Libé en hommage à Ahmed Bouanani.